Des munitions pour 2017

JUS ORANGÉ ZEN ET PUR®

Après avoir exploré dans ce blog, le pâtisson blanc, la courge musquée de Provence, le potimarron et le potiron, voici la courge butternut ou doubeurre. Elle constituera l’un des ingrédients d’un jus orangé pouvant aisément trouver sa place au sein d’un festival de jus.

Le festival de jus est en effet très tentant après la période des fêtes, chaque jus y développant les propriétés inhérentes à sa teinte.

La recette proposée sur la page de Zen et Pur ® m’a fortement inspirée, je l’ai enrichie de graines germées d’alfalfa et d’alfalfa-cresson et de clémentine. Partons à sa découverte !

Ingrédients

7 carottes bio de taille moyenne,
un gros panais bio,
une orange à jus bio,
1/2 grosse clémentine d’Italie bio,
1/2 courge butternut bio,
1 bonne poignée de graines germées d’alfalfa et d’alfalfa-cresson,
1/2 citron jaune bio,
2 à 3 petits rhizomes de curcuma (quantité à l’appréciation de chacun),
1 à 2 cm de rhizome de gingembre frais (quantité à l’appréciation de chacun),
quelques grains de poivre noir bio.

Peler l’orange et la clémentine car leur peau contient des huiles essentielles très actives.

Peler la courge butternut pour préserver votre appareil.

Si les autres ingrédients sont issus de l’agriculture biologique, inutile de les éplucher.

A l’exception des grains de poivre, passer tous les ingrédients prédécoupés dans l’extracteur de jus en alternant les différentes textures.

Penser à mettre curcuma et gingembre dès le début.

Filtrer le tout.

Au moment de déguster ce breuvage, moudre quelques grains de poivre noir sur la boisson !

Dès la première gorgées, les agrumes et les graines germées se distinguent, laissant la butternut, au goût neutre, dans sa réserve… Le gingembre par sa saveur piquante, réchauffe le tout, restant suffisamment longtemps en bouche pour nous aider à affronter les températures hivernales.

Le panais apporte sa rondeur et son velouté. Sa saveur sucrée s’associe parfaitement avec les autres ingrédients et la carotte ici reste discrète. Le « cri de la carotte », ce sera pour une autre fois !